top of page

Quelque chose vit entre l'homme et la bête

nagi_gianni_QCVeHB_18
nagi_gianni_QCVeHB_20
nagi_gianni_QCVeHB_06
nagi_gianni_QCVeHB_19
nagi_gianni_QCVeHB_01
nagi_gianni_QCVeHB_08
nagi_gianni_QCVeHB_14
nagi_gianni_QCVeHB_05
nagi_gianni_QCVeHB_12
nagi_gianni_QCVeHB_11
nagi_gianni_QCVeHB_10
nagi_gianni_QCVeHB_03
nagi_gianni_QCVeHB_04
nagi_gianni_QCVeHB_02
nagi_gianni_QCVeHB_09

Quelque chose vit entre l'homme et la bête

court-métrage video HD, 13min15

2013/2014

FR

La fin d’une relation à trois plonge un homme dans la solitude et le met face à des questionnements autour de sa nature humaine et animale.

 

- J'aimerais être sauvage et féroce... 

- Non. Tu n'as jamais été féroce toi.. et le sauvage tu l'as oublié. Féroce c'est cruel, c'est le sang. Toi tu es face à la solitude mais il n'y a pas de cruauté dans cette solitude. 

 

Le film questionne le rapport et à soi-même et à l'autre en évoquant la figure d'un animal primitif purement pulsionnel qui s'opposerait à un humain qui tend au contrôle et a une certaine perfection.

Dans les deux scènes qui constituent le film le rôle du corps est central : par la danse, l'acte amoureux ou le combat il est à la fois un outil de communication avec l'autre et une forme de résistance.

EN

The end of a three-way relationship leaves a man into solitude and puts him face to face with questions about his human and animal nature.

 

 

- I’d like to be savage and fierce...

- No. You’ve never been fierce ... and the savage you’ve forgotten it. Fierceness is cruel, it is blood. You are facing solitude but there is no cruelty in this solitude.

 

 

The film questions the relationship to oneself and to the other by evoking the figure of a primitive purely instinctual animal that would oppose the human who tends to control and to a certain way of perfection.

In the two scenes that form the film, the role of the body is central: through dance, carnal pleasure or combat, it is at the same time a tool of communication with the other and a form of resistance.

  • scénario, réalisation: Nagi Gianni

  • caméra: Carmen Jaquier 

  • son: Elene Naveriani

  • casting: Raul Fernandes, Sonia Rickli, Nagi Gianni, Isabelle Chladek, Thomas Pedretti, Ludovic Müller, Philipp Spiegler, Kafka

  • costumes, décor, montage: Nagi Gianni

  • post-production son: Dominique Fabre

  • musique: N. / Ramona Altschul

bottom of page